Loriot d’Europe

Je les ai entendus chanter et crier toute la matinée. Et malgré leur chant puissant et leurs couleurs vives, j’ai eu un mal fou à les voir, bien camoufflés dans le feuillage du peuplier de la voisine ou du chêne de mon jardin. Et pour ce qui est de les photographier... misère ! quand j’arrivais à les localiser ces saletés de piafs ne tenaient pas en place. Sur la dizaine de loriots que j’ai comptés entre 10h et 13h, un seul couple s’est laissé photographier. Le mâle est à gauche, la femelle à droite.